Plus de 100 entreprises auraient caché la présence de bisphénol A dans leurs produits
Une enquête de l’Autorité de la concurrence révèle que les industriels de l’agroalimentaire se seraient coordonnés pour restreindre l’information donnée au public, au moment de l’interdiction, en 2015, de ce perturbateur endocrinien dans les emballages. Contexte : Le Monde | AFP – La Tribune | AFP – Le Figaro Pour faire suite à la publication
Initiative HBM4EU : 3 fiches d’information destinées aux citoyens sur les bisphénols, les phtalates et le chrome (VI)
L’Initiative européenne de biosurveillance humaine HBM4EU est un effort conjoint de 28 pays, de l’Agence européenne pour l’environnement et de la Commission européenne, cofinancé par Horizon 2020. L’initiative coordonne et fait progresser la biosurveillance humaine afin de produire des preuves de l’exposition des citoyens aux produits chimiques et de comprendre leurs effets sur la santé.
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Bisphénol A : le lobby du plastique a perdu
Après un recours, rejeté, des industriels, la justice européenne a confirmé, vendredi 20 septembre, la classification du bisphénol A comme perturbateur endocrinien. Cette classification avait été décidée en juillet 2017 par l’Agence européenne des produits chimiques, l’ECHA (pour European Chemicals Agency, en anglais), à la suite d’une demande de la France. L’ONG ClientEarth est intervenu devant la Cour pour appuyer
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Un bisphénol peut en cacher un autre
L’étude publiée par le laboratoire TOXALIM de l’INRA sur le Bisphénol S apporte un éclairage important sur la nécessité d’évaluer les produits de substitution. On savait déjà que le BPS était un perturbateur endocrinien comme le BPA. Ce que l’étude apporte, c’est la preuve que ce BPS n’est pas transformé par l’organisme (ici chez le
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Bisphénol A
Impact et importance de la prise en compte de la co-exposition : l’exemple des parabènes et du bisphénol A
Le Bisphénol A (BPA) est utilisé dans les plastiques polycarbonates et dans les résines époxy, il est interdit depuis 2015 dans les contenants alimentaires et depuis 2016 dans les jouets. Les parabènes sont utilisés comme antimicrobiens dans les produits de consommation. Le journal « Toxicology and Applied Pharmacology » a publié un article le 5 Avril 2017
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Le bisphénol A reconnu comme perturbateur endocrinien chez l’humain
Le toxicologue André Cicolella, président du Réseau environnement santé, revient sur les étapes qui ont abouti au classement du bisphénol A (BPA) comme perturbateur endocrinien, 8 ans après l’alerte du RES. Le BPA classé « substance extrêmement préoccupante » 16 juin 2017 : l’agence européenne des produits chimiques (ECHA) reconnaît le Bisphénol A comme perturbateur endocrinien pour
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« Les Echos de la terre », bisphénol A, néonicotinoïdes…
En partenariat avec le service Planète-Sciences du Monde, dans les « Les Echos de la terre » nous reviendrons sur deux informations qui ont montré la nécessaire vigilance à conserver en matière de santé publique ; tout d’abord le Bisphénol A désormais classé par l’Agence européenne des produits chimiques dans la catégorie des perturbateurs endocriniens, et la question
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Le bisphénol A ne perturbe pas la Suisse
Le bisphénol A vient d’être placé sur la liste des substances extrêmement préoccupantes par l’Agence européenne des produits chimiques (ECHA). La Suisse reste de marbre. Pour l’heure. L’Agence européenne des produits chimiques (ECHA) a lâché une petite bombe vendredi 16 juin. Elle a classé le bisphénol A dans la catégorie des substances extrêmement préoccupantes, «soit
L’agence européenne des produits chimiques classe le bisphénol A dans la catégorie des perturbateurs endocriniens
Le comité des États membres de l’agence européenne des produits chimiques (ECHA) vient de classer à l’unanimité le bisphénol A dans la catégorie des substances extrêmement préoccupante dans le cadre du règlement REACh, au vu de ses propriétés de « perturbateurs endocriniens ». Le comité des États membres de l’agence européenne des produits chimiques (ECHA) vient de classer à