Pour rendre plus visible la pollution invisible mais quotidienne des phtalates, Marina Carrère d’Encausse a accepté de porter un simple bracelet en silicone pendant 7 jours ce qui permet de faire une comparaison avec de nombreux autres volontaires qui ont porté ce bracelet, mais plus largement cela permet de parler des perturbateurs endocriniens et de l’enjeu sanitaire en commençant par la prématurité.
La 1ère partie donne la parole à Anissa Boualaoui, étudiante en 6ème année de la Faculté de Pharmacie de Paris, qui a participé dans le cadre de son stage au Réseau Environnement Santé (RES) à l’animation du projet PELIF2 de sensibilisation aux perturbateurs endocriniens dans 27 lycées franciliens.
André Cicolella, président du RES, est intervenu pour rappeler les enjeux sanitaires. Pour les phtalates, une réduction de 50% de la contamination des femmes enceintes peut réduire le risque de prématurité de 12% ,soit à l’échelle française 7200 cas en moins !
➜ Plus d’information prochainement sur le projet PELIF2, réalisé en partenariat et avec le soutien de la Région Île-de-France, et en partenariat avec le laboratoire IRES-Kudzu Science.
➜ Plus d’information sur les opérations zéro phtalates proposées par le RES.