Notre actualité médiatique :
L’indépendant. Santé: un lanceur d’alerte pour agir au quotidien contre le fléau du cancer (le 5 novembre)
Demoiselle FM. Journal de 7h30 (28 octobre)
Conférence-débat à Rochefort ce soir sur les perturbateurs endocriniens et leur rôle dans le cancer du sein, animée par le toxicologue André Cicolella
France culture. A quels risques sanitaires est-on exposé dans notre vie quotidienne ? (23 octobre)
Des sels d’aluminium dans les déodorants responsables de cancers du sein, des perturbateurs endocriniens nichés dans des crèmes de beauté…, le danger nous guette au plus près de notre intimité et dans nos foyers.
RCF. Cancer du sein: et si on parlait des facteurs environnementaux? (19 octobre)
L’opération Octobre Rose aide à faire tomber le tabou sur le cancer du sein. Les causes de cette épidémie sont, elles, plus difficiles à faire entendre.
DNA. Un GCO pour réduire la pollution de l’air ? « Un mensonge » (15 octobre)
Le Quotidien du Médecin. « Il faut développer la recherche sur les causes environnementales » (13 octobre)
Le chimiste toxicologue André Cicolella appelle à concentrer la recherche sur les causes environnementales du cancer du sein, pour « en finir avec l’épidémie », titre de son dernier ouvrage*.
BFMTV. Des pesticides dans les mueslis: « On pensait que c’était bon pour nos enfants… » (11 octobre)
» Des perturbateurs endocriniens qui peuvent avoir des conséquences graves, comme l’explique le toxicologue André Cicolella: « Cancer du sein, cancer de la prostate, diabète et par voie de conséquences maladies cardio-vasculaires… »
Le Huffington Post. E.Leclerc s’engage contre la pollution cancérigène des emballages alimentaires (10 octobre)
La recherche évolue plus vite que la norme. Et même si j’ai les plus grandes réserves sur un principe de précaution souvent poussé à outrance, mes collègues et moi avons trouvé l’analyse présentée hier matin par André Cicolella (Président du Réseau environnement santé) suffisamment sérieuse pour qu’on ne se retranche pas derrière le strict énoncé du droit.
RFI. Priorité Santé. Cancer du sein : Octobre rose (5 octobre)
Comme chaque année, le mois d’octobre coïncide avec l’opération Octobre Rose, qui a pour but de sensibiliser l’opinion publique au cancer du sein, qui touche une femme sur 8.
Le Point. Cancer du sein : peut-on vraiment parler d’épidémie ? (3 octobre)
Dans son dernier livre, André Cicolella accuse les substances chimiques présentes dans notre environnement. Mais tous les scientifiques ne partagent pas son analyse.
Politis. Cancer du sein : comment stopper une épidémie négligée (3 octobre)
Alors qu’octobre rose, campagne pour sensibiliser au cancer du sein, a démarré, le toxicologue André Cicolella lance l’alerte sur une épidémie mondiale négligée, qui tue autant que le sida. On pourrait, selon lui, faire baisser de 95 % le nombre de cas, en diminuant les facteurs liés à notre environnement : pesticides, cosmétiques, alimentation…
France Inter. Invité du journal de 13 heures (3 octobre)
Magazine de la Santé. Invité du jour (30 septembre)
Marie Claire. CANCER DU SEIN : FAUT-IL BANNIR LES SELS D’ALUMINIUM DE NOS DÉODORANTS ? (30 septembre)
Selon le toxicologue André Cicolella*, l’explosion du nombre de cancer du sein à laquelle on assiste depuis 1980 est due en grande partie aux substances chimiques toxiques présentes dans l’environnement et dans beaucoup de produits de consommation courante.
Radio Télévision Suisse, « La récente hausse de cancers du sein dans les pays occidentaux interpelle » (29 septembre)
A la veille de la 23ème campagne d’information Octobre Rose, Le Nouvel Observateur (1) fait sa Une « Cancer du sein : révélation sur une crise sanitaire ». Le toxicologue André Cicolella présente dans ce dossier les liens entre notre environnement et l’explosion du nombre de cancers du sein. Un sujet qu’il traite dans son dernier livre « Cancer du sein : en finir avec l’épidémie » publié aux Editions des Petits Matins, sortie le 3 octobre 2016. Il revient ici sur les points clés de son analyse.
Ma prévention santé. Le Billet d’André Cicolella : En finir avec l’épidémie de cancers du sein ! (septembre)
A la veille de la 23ème campagne d’information Octobre Rose, Le Nouvel Observateur (1) fait sa Une « Cancer du sein : révélation sur une crise sanitaire ». Le toxicologue André Cicolella présente dans ce dossier les liens entre notre environnement et l’explosion du nombre de cancers du sein. Un sujet qu’il traite dans son dernier livre « Cancer du sein : en finir avec l’épidémie » publié aux Editions des Petits Matins, sortie le 3 octobre 2016. Il revient ici sur les points clés de son analyse.
L’Humanité, « Oui, on peut vieillir sans développer de cancer » (23 septembre)
À l’origine de l’interdiction du Bisphénol A, le chimiste André Cicolella appelle à mieux prendre en compte les causes environnementales des cancers du sein et de la prostate, qui font 21 000 morts par an en France.
La Nouvelle Ouvrière, « Cultiver plus sain pour tous » (septembre)
France soir. CANCER DU SEIN: LES FACTEURS ENVIRONNEMENTAUX, COMME LA POLLUTION, EN CAUSE? (9 septembre)
Avec 1,8 millions de femmes touchées dans le monde, le cancer du sein est le premier cancer chez les femmes occidentales depuis un demi-siècle. Pour le professeur André Cicolella, auteur d’un nouvel ouvrage sur le sujet, sa recrudescence serait liée à des facteurs environnementaux négligés par les autorités. Mais les avis de spécialistes, recueillis notamment par « L’Obs », divergent sur le sujet.
France Info, « Cancer du sein : « Il y a une vraie recrudescence » (8 septembre)
L’Obs publie ce jeudi une enquête sur le cancer du sein, en partenariat avec franceinfo. Arnaud Gonzague, auteur de cette enquête, est parti du constat du toxicologue André Cicolella qui parle d’épidémie du cancer du sein en France. Il est le premier cancer dans le monde et touchent « 1,8 million de femmes par an »
L’Obs, « Cancer du sein : « Un empoisonnement qui commence dès le stade fœtal » (8 septembre)
Pour le toxicologue André Cicolella, auteur de « Cancer du sein. En finir avec l’épidémie », les autorités des pays développés sous-estiment totalement les facteurs environnementaux (substances chimiques, pollution…) dans l’explosion de cette maladie. Interview.
Le Monde. Les perturbateurs endocriniens altèrent (aussi) l’émail dentaire (11 juillet)
Des substances toxiques comme le bisphénol A, le mercure, le biocide contenu dans certains dentifrices, augmenteraient les pathologies liées aux dents.