De la cuisson à l’assiette, la nourriture dans de nombreuses cantines scolaires est au contact du plastique, vecteur possible de perturbateurs endocriniens. A Bordeaux, des analyses chimiques et biologiques ont été réalisées: la mairie se veut rassurante mais des parents appellent au principe de précaution.
« Nos enfants ne vont pas en mourir immédiatement, note Bernard Petit de l’association Réseau environnement santé (RES), mais il n’y a pas de raison qu’on s’empoisonne avec ces assiettes et ces barquettes! »