Paris, Stockholm, Madrid, ou encore Grande-Synthe étaient présentes hier aux premières rencontres européennes des villes et territoires sans perturbateurs endocriniens
Des produits d’entretien aux vêtements, de la peinture des murs aux sièges auto, des produits de beauté à l’alimentation, les perturbateurs endocriniens sont partout. Ils seraient en partie responsable de l’augmentation des maladies chroniques dans le monde, comme certains cancers, l’obésité ou le diabète. Serait-il possible de vivre sans perturbateurs endocriniens ?
A l’origine de ces rencontres européennes, le Réseau Environnement Santé. Le but de son président, André Cicolella, est de créer un réseau et une charte pour les villes qui souhaitent s’engager contre les perturbateurs endocriniens.
Pour en savoir plus :
Présentation – Première Rencontre des Villes & Territoires sans Perturbateurs Endocriniens