Les perturbateurs endocriniens sont suspectés d’aggraver le mauvais état sanitaire d’une population, dont les indicateurs de santé sont très mauvais comparés à la moyenne française. Cœur d’Ostrevent veut donc s’engager de manière plus ambitieuse dans ce problème de santé publique.
C’est un tableau apocalyptique qu’ont dressé trois médecins de l’Association promotion recherche environnement santé (APRES) sur les perturbateurs endocriniens, lors d’une conférence de presse tenue en présence d’élus au siège de la Communauté de communes de Cœur d’Ostrevent (CCCO), en appui des actions menées par cette dernière pour diminuer la présence de ces substances dans notre environnement. Apocalyptiques, car ces produits chimiques sont partout.