La cité du Familistère a signé une charte visant à lutter contre les perturbateurs endocriniens, et espère convaincre toute l’Aisne de faire de même.
Hugues Cochet rappelle que la commune fait déjà des efforts en la matière : « 25 % des repas proposés dans les cantines sont bio, nous n’utilisons pas de produits phytosanitaires aux espaces verts, le personnel de la petite enfance travaille exclusivement avec des produits écologiques pour l’entretien des locaux et donc sans perturbateur endocrinien« . Pour lui, cette charte est l’occasion d’aller encore plus loin et de sensibiliser la population aux risques. Il espère également donner l’exemple à bien d’autres et peut-être même au Conseil départemental, ce qui permettrait d’engager des actions de plus grande ampleur.