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Colloque « Réduire l’exposition aux perturbateurs endocriniens : Quels enjeux sanitaires ? Quels leviers pour les collectivités locales en France ? »
En s’engageant dans la réduction des perturbateurs endocriniens sur leur territoire, les collectivités locales, acteurs majeurs en santé environnementale, contribuent à diminuer les inégalités sociales de santé via la prévention de nombreuses pathologies, à commencer par la prématurité, la mortalité infantile et les maladies infantiles. Les collectivités peuvent tout d’abord agir dans les bâtiments dont elles sont gestionnaires, en priorité ceux accueillant des populations vulnérables comme les jeunes enfants. Elles ont également la capacité d'informer et de mobiliser de nombreux publics et parties prenantes, les incitant ainsi à agir à leur tour pour réduire les expositions.
C’est l’une des conclusions tirées lors du colloque « Réduire l’exposition aux perturbateurs endocriniens : Quels enjeux sanitaires ? Quels leviers pour les collectivités locales en France ? », co-organisé par le Réseau Environnement Santé (RES), la Ville/Eurométropole de Strasbourg, et le Centre National de la Fonction Publique Territoriale (CNFPT), en partenariat avec le Réseau français Villes-Santé (RfVS), Elus Santé Publique et Territoire (ESPT), EDC-Free Europe, et la Société Française d’Endocrinologie (SFE)., qui a réuni, le 22 novembre 2023, plus de 200 participants en distanciel, en majorité des agents et des élus des collectivités locales. Cet événement a été marqué par des tables rondes politiques et scientifiques, ainsi que par des séquences techniques sous forme d’ateliers, organisées dans le sillage particulier du 17 novembre, journée mondiale de la prématurité.
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Colloque « Réduire l’exposition aux perturbateurs endocriniens : Quels enjeux sanitaires ? Quels leviers pour les collectivités locales en France ? »
En s’engageant dans la réduction des perturbateurs endocriniens sur leur territoire, les collectivités locales, acteurs majeurs en santé environnementale, contribuent à diminuer les inégalités sociales de santé via la prévention de nombreuses pathologies, à commencer par la prématurité, la mortalité infantile et les maladies infantiles. Les collectivités peuvent tout d’abord agir dans les bâtiments dont elles sont gestionnaires, en priorité ceux accueillant des populations vulnérables comme les jeunes enfants. Elles ont également la capacité d'informer et de mobiliser de nombreux publics et parties prenantes, les incitant ainsi à agir à leur tour pour réduire les expositions.
C’est l’une des conclusions tirées lors du colloque « Réduire l’exposition aux perturbateurs endocriniens : Quels enjeux sanitaires ? Quels leviers pour les collectivités locales en France ? », co-organisé par le Réseau Environnement Santé (RES), la Ville/Eurométropole de Strasbourg, et le Centre National de la Fonction Publique Territoriale (CNFPT), en partenariat avec le Réseau français Villes-Santé (RfVS), Elus Santé Publique et Territoire (ESPT), EDC-Free Europe, et la Société Française d’Endocrinologie (SFE)., qui a réuni, le 22 novembre 2023, plus de 200 participants en distanciel, en majorité des agents et des élus des collectivités locales. Cet événement a été marqué par des tables rondes politiques et scientifiques, ainsi que par des séquences techniques sous forme d’ateliers, organisées dans le sillage particulier du 17 novembre, journée mondiale de la prématurité.
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Colloque « De la Prématurité aux Maladies Infantiles : l'enjeu des Perturbateurs Endocriniens »
Le 17 novembre 2023, à l’occasion de la Journée Mondiale de la Prématurité au Palais du Luxembourg, le RES a organisé en partenariat avec les sociétés médicales de pédiatres l'Association Française de Pédiatrie Ambulatoire (AFPA) et l'Association Française des Pédiatres Endocrinologues Libéraux (AFPEL); d’endocrinologues avec la Société Française d’Endocrinologie (SFE); de néonatologues avec la Société Française de Néonatologie (SFN) et Elus Santé Publique et Territoires (ESPT), le colloque: «De la Prématurité aux Maladies Infantiles : l’enjeu des Perturbateurs Endocriniens».
Cette matinée a permis de fructueux échanges permettant d’ancrer la campagne VTSPE en regard des indicateurs majeurs de santé que sont la prématurité, la mortalité infantile et les maladies infantiles. L’objectif de ce colloque était de réunir à la fois des sociétés médicales les plus directement concernées par cette thématique (AFPA et AFPEL, SFE et SFN) mais aussi les collectivités locales qui se sont particulièrement investies sur le sujet (Nice, Strasbourg, région Île-de-France, Blanc-Mesnil), ainsi que les CPAM de l’Indre et de l’Aisne qui ont porté les opérations Zéro phtalates via les éco-ambassadeurs. La dimension mondiale était donnée par la présence de Anna Gruending, co-rédactrice du rapport « Born too soon » du colloque OMS, UNICEF et PMNCH tenu à Johannesburg sur la « Prématurité, 1ère cause mondiale de mortalité infantile ». La présence en conclusion de la Fédération Nationale des CPTS ouvre la voie à la mobilisation de l’ensemble des professionnels de santé.
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Colloque « Prévention et protection contre les produits chimiques perturbateurs endocriniens : quels rôles pour les villes et les collectivités locales en Europe ? »,
Organisé le 20 avril 2023, au Parlement européen à Strasbourg, par le Réseau Environnement Santé (RES), en partenariat avec la coalition EDC-Free Europe, le Baltic Environmental Forum Allemagne (BEF DE) et le projet Interreg NonHazCity3, ce colloque s’est avéré être une plateforme précieuse pour partager l’expertise et les meilleures pratiques sur la manière dont les autorités locales font face à la menace croissante des perturbateurs endocriniens tout en exhortant que des mesures européennes et nationales comblent les lacunes réglementaires actuelles. L’objectif était de répondre aux 2 résolutions du Comité européen des Régions et du Parlement européen demandant à la Commission européenne de soutenir la création d'un réseau européen de collectivités mobilisées dans la lutte contre les perturbateurs endocriniens, en s'appuyant sur les expériences existantes en France et dans les pays de la Baltique. Après un discours d’ouverture prononcé par la Ministre Agnès Firmin Le Bodo (en vidéo), puis par Jeanne Barsaghian, Maire de Strasbourg, les échanges entre des représentants du réseau NonHazCity regroupant des villes de la Baltique (Stockholm, Helsinki, Hambourg, Riga, Gdansk) et du Baltic Environmental Forum et des collectivités locales parmi les plus engagées en France (Strasbourg, Nice, Limoges, Régions Île-de-France, Centre-Val-de-Loire), de parlementaires européens et des représentants de la commission ont posé la première pierre de ce réseau européen, en mettant en évidence la richesse des expériences.
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Colloque national « Maladies Infantiles, Habitat, Perturbateurs Endocriniens »
Le 6 octobre 2022 à Albi, le RES a organisé, en partenariat avec le Conseil Départemental du Tarn, un colloque national intitulé « Maladies Infantiles, Habitat et Perturbateurs Endocriniens » qui a rassemblé 180 professionnels de la protection maternelle et infantile, de l’habitat et du bâti, des collectivités, pour ensemble faire avancer concrètement la lutte contre les perturbateurs endocriniens avec un focus particulier sur les maladies infantiles et l’habitat.
Les Perturbateurs Endocriniens ont comme spécificité d’agir principalement pendant les périodes sensibles de la grossesse et de la petite enfance. Ils apparaissent de plus en plus comme une cause majeure des maladies de l’enfant. Les données scientifiques montrent un lien fort entre exposition maternelle, mais aussi exposition de l’enfant, et maladies infantiles comme l’asthme, le TDAH (Troubles du Déficit d’Attention et d’Hyperactivité), les troubles du langage, certains cancers, l’obésité, la puberté précoce,…
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Santé Environnementale, Perturbateurs Endocriniens, quelles conséquences pour nos enfants ?
Santé publique France a publié le 3 septembre 2019 un rapport concluant à la contamination par les perturbateurs endocriniens de 100% des Français, les enfants étant plus touchés que les adultes.
Des études de plus en plus nombreuses montrent qu’un enfant exposé pendant la grossesse aux niveaux les plus élevés aura des risques sanitaires plus élevés comme l’hyperactivité, le déficit d’attention, le trouble autistique, le retard de langage, le diabète, l’obésité, l’asthme, les anomalies génitales et, à l’âge adulte, les cancers hormonodépendants.
« LES PERTURBATEURS ENDOCRINIENS SONT UNE MENACE MONDIALE À LAQUELLE IL FAUT APPORTER UNE SOLUTION » :
c’est le constat du rapport publié en 2012 par l’OMS et le Programme des Nations Unies pour l’Environnement. Les professionnels de la petite enfance sont en première ligne pour protéger au mieux les générations futures de cette menace. C’est l’objet du colloque scientifique d’Albi.
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Malades de la thyroïde : malades de l’environnement ?
Aujourd’hui, en France, 3 millions de personnes sont traitées pour une maladie de la thyroïde (soit 250 000 pour l’Occitanie).
Les perturbateurs endocriniens des hormones thyroïdiennes sont mis en cause, principalement pendant la période préconceptionnelle et la grossesse.
Quelles sont les conséquences pour les malades de cette exposition à ces perturbateurs endocriniens ? Quelles sont les conséquences pour les femmes enceintes et leurs enfants et peut être leurs descendants ?
Ce phénomène de progression et de « rajeunissement » de l’AVC est observé au niveau français et mondial. La question est posée de savoir s’il s’agit d’un phénomène, de type nouveau, notamment du point de vue des causes environnementales.
En mettant ces données dans le débat public, notre objectif est d’attirer l’attention sur la nécessité d’avoir une politique plus ambitieuse de santé environnementale, pour s’attaquer aux causes des maladies chroniques.
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L'AVC, une maladie de jeune ?
L’Alsace se distingue en étant la région de France où la progression de l’Accident Vasculaire Cérébral entre 1997 et 2014 a été la plus rapide au vu des statistiques d’Affections de Longue Durée (ALD) : taux multiplié par 4,2. Sur la période, cette progression est différente entre Haut-Rhin (x3,4) et Bas-Rhin (x5,5). L’AVC progresse chez les moins de 45 ans, mais de façon très contrastée entre Haut-Rhin (x 1,6) et Bas-Rhin (x 4,3).
Ce phénomène de progression et de « rajeunissement » de l’AVC est observé au niveau français et mondial. La question est posée de savoir s’il s’agit d’un phénomène, de type nouveau, notamment du point de vue des causes environnementales.
En mettant ces données dans le débat public, notre objectif est d’attirer l’attention sur la nécessité d’avoir une politique plus ambitieuse de santé environnementale, pour s’attaquer aux causes des maladies chroniques.
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Deuxième rencontre Européenne des villes et territoires sans PE : De l’appel de Wingspread à l’appel de Paris
Le 10 octobre 2017, le Réseau Environnement Santé avait organisé les Premières rencontres européennes des Villes et Territoires sans Perturbateurs Endocriniens à Paris. Près de 200 participants étaient au rendez-vous. De cet événement ressortit un sentiment largement partagé, à l’écoute des expériences présentées, que la société civile était prête à se mobiliser pour cet objectif. La rencontre des 28 et 29 septembre 2018 se situe dans cette démarche. Les collectivités locales ont un rôle particulier car, outre leur capacité à toucher l’ensemble des citoyens, elles disposent du levier économique de la commande publique. Le 28 septembre, 13 villes et territoires ont signé la charte Villes et Territoires sans Perturbateurs Endocriniens ! Paris, Strasbourg, Saint-Jean, Tulle, Grande-Synthe, Fontenay-sous-Bois, Le Séquestre, Limoges, Douai, Marseille (en projet), Biarritz (en projet) et les communautés de communes du Douaisis et de Coeur d’Ostrevent ont signé. La dimension européenne portée par Madrid, Stockholm et Paris montre de surcroit que les capitales peuvent, comme pour le réchauffement climatique, montrer la voie aux gouvernements, en faisant écho à l’appel de Wingspread, lancé par 21 scientifiques en juillet 1991, qui nous alertait sur l’enjeu des perturbateurs endocriniens. C’est à cette occasion que l’expression fut créée.
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Santé environnementale et maladies chroniques : coût de l'action, coût de l'inaction
Nous ne pouvons pas faire comme si nous ne le savions pas.
Quatre constats devraient inciter à repenser et adapter les stratégies de santé publique et de prévention :
• Les maladies chroniques sont devenues des maladies dominantes. 20 % des citoyens sont ainsi concernés, alors que ce chiffre ne fait que croître. Les maladies chroniques ne sont pas uniquement la conséquence du vieillissement.
• S’agissant de la genèse de ces pathologies, les connaissances scientifiques font émerger les facteurs environnementaux dans leur survenue (cancer, diabète, obésité, maladies cardiovasculaires…). Comment prendre en compte ces connaissances pour faire évoluer les pratiques ?
• Réduire la logique de santé à la logique de soins ne permettra pas d’enrayer la progression de ces maladies modernes. Quelle impulsion donner à la prévention, qui reste encore un parent pauvre de notre système de santé ?
• Le poids des maladies chroniques dans les dépenses de santé ne cesse de croître et met en péril la pérennité des systèmes d’Assurance Maladie et de solidarité. Cette observation a été formulée par l’OMS.
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Y AURA-T-IL ENCORE DES PETITS OCCITANS EN 2040 ?
Depuis 50 ans, les problèmes de fertilité n’ont cessé de croître : 1 couple sur 5 rencontre aujourd’hui des difficultés pour mener à terme son projet parental.
Hommes comme femmes sont concernés : progression de l’endométriose et des ovaires polykystiques, réserve ovarienne épuisée avant l’âge chez les femmes sont parmi les troubles qui gagnent du terrain. Quant aux hommes, la dégradation de la qualité du sperme, l’augmentation du cancer des testicules et des malformations génitales n’ont cessé de les affecter davantage. En France, le sud-ouest est la première région concernée par ces problèmes selon l’étude de Santé Publique France basée sur un échantillon national de 26 000 personnes (Joëlle Le Moal et al, Semen quality trends in French regions are consistent with a global change in environmental exposure, Reproduction Avril 2014).
SI L’ÉVOLUTION ACTUELLE SE POURSUIVAIT, EN 2040 IL POURRAIT NE PLUS Y AVOIR DE PETITS OCCITANS ! Ce colloque est une opportunité de mettre dans le débat public les connaissances scientifiques et médicales sur ce thème en donnant la parole aux spécialistes et aux personnes concernées.
Cet événement s’inscrit dans le cadre de la Stratégie Nationale Perturbateurs Endocriniens (SNPE), du Plan National Santé Environnement (PNSE3) et des Plans Régionaux Santé Environnement (PRSE3)aD) se pose.
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Perturbateurs endocriniens, eau et santé
« Le pari était risqué, mais il a été gagné! Près de 200 personnes pour débattre de l’enjeu des
normes pour les Perturbateurs Endocriniens dans l’eau, qui plus est en province… La
démonstration a été ainsi faite de la prise de conscience croissante de l’enjeu des Perturbateurs
Endocriniens et de la nécessité, comme le recommande la Stratégie Nationale Perturbateurs
Endocriniens, de diminuer l’exposition de la population mais aussi de repenser nos
règlementations sur la base de la science d’aujourd’hui.
Des solutions existent et ont fait l’objet notamment d’un rapport du Centre de Recherche de
l’Union Européenne. Le colloque de Poitiers va pouvoir contribuer à alimenter le débat à
l’occasion du réexamen en cours de la Directive européenne.
Merci à tous nos contributeurs qui ont permis le succès de cette manifestation ! »
André CICOLELLA
Président du Réseau Environnement Santé
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Pour des Villes et Territoires sans Perturbateurs Endocriniens
La 1e rencontre européenne des Villes et Territoires sans Perturbateurs Endocriniens a été un succès. Près de 200 participants étaient au rendez-vous. De cet événement ressort un sentiment largement partagé, à l’écoute des expériences présentées, que la société civile était prête à se mobiliser pour cet objectif.
Les collectivités locales ont un rôle particulier car, outre leur capacité à toucher l’ensemble des citoyens, elles disposent du levier économique de la commande publique.
Les professionnels de santé ont aussi une responsabilité particulière, en vertu du principe d’Hippocrate « D’abord ne pas nuire ». Il est à l’évidence urgent d’empêcher toute contamination par les dispositifs médicaux et plus largement par l’environnement des établissements.
La dimension européenne portée par Madrid, Stockholm et Paris montre que les capitales peuvent montrer la voie aux gouvernements à un moment où la commission européenne continue de tergiverser sur la question de la définition.
Rendez-vous pour la 2nde rencontre européenne en septembre 2018 !
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Vers une dentisterie sans Perturbateurs Endocriniens
Chercheurs, praticiens, fabricants et représentants institutionnels ont débattu ce jeudi 23 juin autour du thème “Vers une dentisterie sans Perturbateurs Endocriniens” à l’invitation de Nathalie Ferrand.
Une première en France, le point de départ d’une nouvelle dynamique : celle d’une profession sensibilisée et prête à agir pour lutter contre l’impact des Perturbateurs Endocriniens et plus spécifiquement contre celui du Bisphénol A et de ses substituts.
Le constat posé, des solutions sont à trouver ensemble ont relevé l’ensemble des intervenants.
Cette envie de protéger patients et professionnels donnera lieu à de nouvelles rencontres, nous vous tiendrons bien entendu au courant !
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Environnement chimique, obésité, diabète
L’objectif poursuivi par ce colloque était double. Reposant sur l’expertise scientifique du Réseau Environnement Santé et sur l’expertise en promotion de la santé environnementale de la Mutualité Française, il s’agissait à la fois de mettre en avant les données scientifiques récentes pointant le rôle de l’environnement chimique dans le développement de l’obésité et du diabète, et de s’interroger sur la façon d’intégrer ces données scientifiques nouvelles dans la mise en oeuvre d’actions concrètes en promotion de la santé environnementale.
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Perturbateurs Endocriniens et Biodiversité
« Un grand nombre de substances crées par l’homme, émises dans l’environnement ainsi que quelques substances naturelles, ont le potentiel de perturber le système endocrinien des animaux y compris celui de l’espèce humaine ». Il y a 20 ans, 21 scientifiques réunis à l’initiative de Theo Colborn responsable scientifique du WWF faisaient ce constat, lors de l’Appel de Wingspread. C’est à cette occasion que l’expression « Perturbateurs Endocriniens » a été créée. Ce qui n’était à l’époque qu’une hypothèse, a généré par la suite des milliers d’articles scientifiques qui démontrent que ces Perturbateurs Endocriniens impactent aussi bien la santé de l’homme que la santé des écosystèmes. Ce colloque est destiné aux scientifiques, aux politiques, aux journalistes ainsi qu’aux acteurs institutionnels et de la société civile.