« Il est temps que l’Institut National du Cancer se préoccupe sérieusement des causes environnementales du cancer ». André Cicolella. La bonne nouvelle, pour le toxicologue, qui prône une révolution de la santé, qui doit soigner mais aussi prévenir en s’attaquant aux causes, c’est qu‘il n’y a pas de fatalité et qu’il est possible de faire reculer l’explosion de la maladie.
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