Une nouvelle étude montre pour la première fois chez l’humains que l’exposition simultanée à des molécules potentiellement perturbatrices endocriniennes exacerbe les effets observés lorsque l’exposition est réalisée avec les molécules indépendamment les unes des autres. Cette étude s’est principalement intéressée au testicule fœtal humain avec des conséquences éventuelles sur le développement du système reproducteur, les molécules sélectionnées inhibant toute production de testostérone.
Etudier les substances « individuellement » sous-estime le risque lié à leurs expositions simultanées, particulièrement chez les femmes enceintes.
Lien vers le communiqué de l’INSERM